Les objectifs de l’étude de documents
Montrer sa maîtrise du vocabulaire médical
Cette épreuve d’admissibilité comprend une partie de définition du vocabulaire médical. Elle peut revêtir plusieurs formes, comme la définition d’abréviations (préfixes ou suffixes) ou de termes médicaux ou la correction d’un texte dans lequel se sont glissées des fautes de vocabulaire médical.
Au-delà d’une parfaite maîtrise du vocabulaire médicale, il est nécessaire d’avoir des notions en anatomie humaine, pour compléter des schémas sur les différents organes du corps. L’apprentissage du vocabulaire médical est important : en effet, on ne peut connaître le nom de toutes les maladies ou inflammations.
C’est pourquoi il est nécessaire de bien découper les mots, entre le préfixe, le suffixe et la racine du mot. La plupart des termes médicaux ont une origine latine ou grecque, donc celles qui ont pris l’option latin et / ou grec durant leurs études seront aidées.
La terminologie médicale demande des réponses précises. Voici quelques exemples, avec les réponses pour information :
- Quelle est la racine du mot sommeil ? Réponse : narco, hypno, somno
- Quel est le synonyme du mot médecin généraliste ? Réponse : omnipracticien
- Quel est le processus inflammatoire de l’utérus ? Réponse : métrite
- Quel est le nom de la première vertèbre cervicale ? Réponse : atlas
De plus, la candidate peut corriger les fautes d’orthographe, à travers un texte comme un compte-rendu.
Rédiger un compte-rendu suite à la lecture de documents
Pour bien préparer l’épreuve qu’est l’étude de documents, il est important de lire des revues scientifiques ou spécialisées, afin d’être familière du langage employé.
Suite à l’étude d’un ou plusieurs documents, le candidat doit pouvoir rédiger un compte-rendu de consultation ou d’hospitalisation. Le but est de synthétiser et organiser l’information, sans la dénaturer. L’étude de documents peut également consister à rédiger une note de service, pour faire connaître, au personnel, une mesure réglementaire.